Natasha BEZRICHE (chant) & Sébastien JAUDON (piano et arrangements)
Un spectacle de chansons Française, au féminin Pluriel pour évoquer, en poésies et en chansons, la place faite aux femmes de par le monde. Interpréter ces destins et ces parcours pour rendre hommage, à quelques-unes de ces femmes qui n’ont pas voulu se taire⭐️.
Il est donc question ici, de ces femmes qui luttent, qui aiment, qui souffrent ou qui espèrent.
Un duo d’une majestueuse sobriété et d’une efficacité redoutable
« Nous n’avons pas d’autre ambition que de donner à penser, à voir et comprendre le monde autrement, de toucher au cœur, de bouleverser, de bousculer, de désarçonner, de faire chanter les joies, la drôlerie, ou le pire et le meilleur de nos vies »
‘’C’est une fille !’’, ce sont de petites vignettes, qui nous parlent de tout un pan du monde, sans parti pris, mais en essayant d’éclairer ce répertoire autrement. Des textes, des chansons portés par la voix d’une femme et les doigts du pianiste, et qui ont été choisis non seulement pour leurs pures et simples beautés, mais aussi pour ce qu’ils nous disent du monde.
Une plongée par paliers au cœur de la nature humaine, une façon originale d’aborder ce thème, en textes et en musiques et qui permet de dresser de singuliers portraits de femmes, avec des récits de situations auxquelles bon nombre d’entre elles sont confrontées.
Ce répertoire met en lumière des textes et des chansons écrites par des femmes, ou par des hommes qui nous parlent des femmes : Anne Sylvestre, Barbara, Juliette, Michèle Bernard, Brigitte Fontaine, Natasha Bezriche, Hélène Martin… et aussi Leprest, Nougaro, Vian, Ferré, Gainsbourg…
« (…) de tout temps, ce n’est pas l’inspiration qui a manqué aux femmes, mais sa possibilité d’émergence dans l’espace public ».
« Poétique, piquante, drôle ou un peu nostalgique : on retrouve chez Natasha BEZRICHE un véritable quelque chose de Barbara, de Cora Vaucaire aussi, parfois de Juliette Gréco et même d’Édith Piaf par moments dans les accents profonds de cette voix atypique et de sa bouleversante capacité émotionnelle » (H.L/ Le Progrès-lyon)